# HG changeset patch # User Patrick PIERRE # Date 1389030145 -3600 # Node ID 4677579b4d9fb103ea4a6c0fb72b771aeed0caff # Parent aace9a2da668b1afc962251f354abbec59310f3b Suppression section inutile diff -r aace9a2da668 -r 4677579b4d9f RelaxNG/Examples/Topics/états-unis_les faucons.xml --- a/RelaxNG/Examples/Topics/états-unis_les faucons.xml mer. janv. 01 18:08:33 2014 +0100 +++ b/RelaxNG/Examples/Topics/états-unis_les faucons.xml lun. janv. 06 18:42:25 2014 +0100 @@ -8,57 +8,53 @@ </head> <section> - <section> - <head> - <title>Richard Perle</title> - </head> - <p> - Ils s'appellent Paul Wolfowitz, Richard Perle, Robert Kagan, William - Kristol, Lewis Libby, David Wurmser ou encore Douglas Feith. Aux - États-Unis, on les surnomme les « néo-conservateurs ». Peu connu du - grand pulbic européen, ce petit groupe de diplomates, - d'universitaires et de journalistes conçoit, depuis deux ans, la - politique étrangère américaine. Au point qu'il n'est pas rare - d'entendre que le conflit irakien est « leur » guerre. Ce sont eux en - tout cas qui en ont eu l'idée, qui en ont élaboré la stratégie et qui - en ont précipité le déclenchement. - </p> - <p> - Leur prise de pouvoir date de septembre 2001. Du 14 septembre très - précisément, trois jours après les attaques aériennes contre le World - Trade Center et le Pentagone. Ce jour-là, Georges W. Buesh décide de - réunir ses principaux conseillers à Camp David pour discuter des - moyens à mettre en œuvre pour contrer Al-Qaïda. Le débat tourne - autour de l'éventualité d'une intervention militaire en - Afghanistan. Un homme se lève alors et prend la parole : il s'agit de - Paul Wolfowitz, l'adjoint de Donald Rumsfeld au secrétariat d'État à - la Défense. Sur un ton passionné, celui-ci prône une approche - « globale » du problème et souligne la nécessité de s'attaquer non - seulement à l'Afghanistan, mais aussi aux autres sanctuaires du - terrorisme international que sont l'Iran, la Syrie et surtout - l'Irak. Seul un changement de régime à Bagdad, conclut-il, mettra - durablement les États-Unis à l'abri d'une nouvelle vague d'attentats. - </p> - </section> - <section> - <head> - <title>Paul Wolfowitz</title> - </head> - <p> - Peu féru en matière de relations internationales, Bush est fasciné - pour la fougue et l'éloquence de son subordonné. Mieux, il est - convaincu que ce dernier est le seul à avoir vraiment pris la mesure - de la situation et à posséder une vision à long terme du rôle des - États-Unis dans le monde. - ... - </p> - <p> - ... - [...] Une région pleine de haine, de rêves de revanchen conduite - par un fanatisme religieux et nationaliste. Et, au bout du compte, - les Américains rentreront chez eux. Nous resterons seuls ici. » - </p> - </section> + <head> + <title>Richard Perle</title> + </head> + <p> + Ils s'appellent Paul Wolfowitz, Richard Perle, Robert Kagan, William + Kristol, Lewis Libby, David Wurmser ou encore Douglas Feith. Aux + États-Unis, on les surnomme les « néo-conservateurs ». Peu connu du + grand pulbic européen, ce petit groupe de diplomates, d'universitaires + et de journalistes conçoit, depuis deux ans, la politique étrangère + américaine. Au point qu'il n'est pas rare d'entendre que le conflit + irakien est « leur » guerre. Ce sont eux en tout cas qui en ont eu + l'idée, qui en ont élaboré la stratégie et qui en ont précipité le + déclenchement. + </p> + <p> + Leur prise de pouvoir date de septembre 2001. Du 14 septembre très + précisément, trois jours après les attaques aériennes contre le World + Trade Center et le Pentagone. Ce jour-là, Georges W. Buesh décide de + réunir ses principaux conseillers à Camp David pour discuter des moyens + à mettre en œuvre pour contrer Al-Qaïda. Le débat tourne autour de + l'éventualité d'une intervention militaire en Afghanistan. Un homme se + lève alors et prend la parole : il s'agit de Paul Wolfowitz, l'adjoint + de Donald Rumsfeld au secrétariat d'État à la Défense. Sur un ton + passionné, celui-ci prône une approche « globale » du problème et + souligne la nécessité de s'attaquer non seulement à l'Afghanistan, mais + aussi aux autres sanctuaires du terrorisme international que sont + l'Iran, la Syrie et surtout l'Irak. Seul un changement de régime à + Bagdad, conclut-il, mettra durablement les États-Unis à l'abri d'une + nouvelle vague d'attentats. + </p> + </section> + <section> + <head> + <title>Paul Wolfowitz</title> + </head> + <p> + Peu féru en matière de relations internationales, Bush est fasciné pour + la fougue et l'éloquence de son subordonné. Mieux, il est convaincu que + ce dernier est le seul à avoir vraiment pris la mesure de la situation + et à posséder une vision à long terme du rôle des États-Unis dans le + monde. […] + </p> + <p> + […] Une région pleine de haine, de rêves de revanchen conduite + par un fanatisme religieux et nationaliste. Et, au bout du compte, les + Américains rentreront chez eux. Nous resterons seuls ici. » + </p> </section> </topic> </publidoc>